Eglise romane St-Pierre et St-Roch

PCU_ Église Saint-Pierre_entrée
PCU_ Eglise st-Roch_clocher à peigne
PCU_ Eglise st-Roch_intérieur
PCU_ Eglise st-Roch_intérieur
PCU_ Eglise st-Roch_autel St-Joseph
PCU_ Eglise st-Roch_ St-Joseph
PCU_ Eglise st-Roch_autel Notre Dame de Lourdes
PCU_ Eglise st-Roch_Notre Dame de Lourdes
PCU_ Eglise st-Roch_St-Roch 1
PCU_ Eglise st-Roch_St-Roch
PCU_ Eglise st-Roch_St-Pierre
PCU_ Eglise St-Roch_chemin de croix
PCU_ Eglise st-Roch_vitrail1
PCU_ Eglise st-Roch_vitrail 3
PCU_ Eglise st-Roch_vitrail 2
PCU_ Eglise st-Roch_vitrail 4
PCU_ Eglise St-Pierre_façade extérieure
PCU_ Eglise st-Roch_mondillon
PCU_ Eglise st-Roch_mondillon 2
PCU_ Eglise st-Roch_Modillons
PCU_ Eglise st-Roch_extérieur banc

PCU_ Église Saint-Pierre_entrée
PCU_ Eglise st-Roch_clocher à peigne
PCU_ Eglise st-Roch_intérieur
PCU_ Eglise st-Roch_intérieur
PCU_ Eglise st-Roch_autel St-Joseph
PCU_ Eglise st-Roch_ St-Joseph
PCU_ Eglise st-Roch_autel Notre Dame de Lourdes
PCU_ Eglise st-Roch_Notre Dame de Lourdes
PCU_ Eglise st-Roch_St-Roch 1
PCU_ Eglise st-Roch_St-Roch
PCU_ Eglise st-Roch_St-Pierre
PCU_ Eglise St-Roch_chemin de croix
PCU_ Eglise st-Roch_vitrail1
PCU_ Eglise st-Roch_vitrail 3
PCU_ Eglise st-Roch_vitrail 2
PCU_ Eglise st-Roch_vitrail 4
PCU_ Eglise St-Pierre_façade extérieure
PCU_ Eglise st-Roch_mondillon
PCU_ Eglise st-Roch_mondillon 2
PCU_ Eglise st-Roch_Modillons
PCU_ Eglise st-Roch_extérieur banc
Eglise romane avec un choeur du XII ème siècle, inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques du 7 janvier 1926.

Description

Les bénédictins de La Chaise-Dieu desservaient l’église de Cistrières avant 1067 et en partageaient la suzeraineté avec le seigneur de Clavelier. Le prieuré a été uni à la mense abbatiale avant 1366. La paroisse, sous le vocable de Saint Pierre, relevait du diocèse de Saint-Flour et de l’archiprêtré de Brioude jusqu’à la Révolution.

En 1844, les lambris qui couvrent la nef de l’église menacent ruine. En 1873, on prévoit l’adjonction d’une chapelle. En 1875 débute un chantier plus vaste, sur les plans d’E. Léculée, architecte départemental, qui ne conserve que l’abside et détruit le clocher posé sur l’arc triomphal. La nef, les bas-côtés, la façade avec le clocher-mur, sont reconstruits et terminés en 1885.
La façade ouest est reconstruite en style néo-romano-byzantin avec un clocher-mur de trois arcades qui compte trois cloches dont une du XVIe siècle. Le chevet pentagonal est roman. Un des vitraux du XIXe représente St Joseph avec Jésus adolescent. Le cocher à peigne date de 1879.
Nef : date du 19éme siècle et a été construite selon le style néoclassique que l'on aperçoit au niveau des chapiteaux représentants des feuilles d'acanthes et des putti. Au dessus, dans le même alignement, on retrouve un pilier cannelé très massif de style néoclassique.
Choeur : roman du 12éme siècle, classé aux Monuments Historiques en date du 7 janvier 1926. Il est surmonté d'une voute en cul-de-four. Mur-buffet encerclant le choeur.
A l'extérieur, le chevet est flanqué de contreforts qui soutiennent l'édifice. Sous la corniche du toit, des modillons sculptés représentent des visages grimaçanyts, des animaux imaginaires.
Différence entre le style roman employé dans le choeur et la nef remaniée au 19éme siècle.
En 1957, l’architecte Frédéric Bachelier remplace la voûte en briques en anse de panier qui couvrait la nef par un plafond à caissons en bois. En 2008, une restauration menée par l’architecte François Desnier, restitue au chœur son volume roman, fait disparaître les contreforts et ouvre les baies de l’abside. À l’intérieur réfection des enduits, peintures et éclairage. Le nouvel autel a été consacré par Mgr Henri Brincard.


St-Pierre: Pécheur de Galilée, il est choisi par le Christ pour être un des Douze Apôtres et le chef de l’Eglise. C’est lui qui confesse que Jésus est le Fils de Dieu et qui jure de ne jamais abandonner Jésus avant de le renier trois fois au moment de la Passion.

St-Roch: Né vers 1350 à Montpellier, il se dévoua d’abord au service des pauvres dans sa ville natale puis, il revêtit l’habit de pèlerin et se dirigea vers Rome. Là, il soigna avec zèle les malades et surtout les pestiférés, manifestant des dons de thaumaturge en leur faveur. Atteint lui-même par la maladie à Plaisance, il reprit le chemin de sa patrie une fois guéri.
Arrêté comme espion du pape par le duc de Milan, il passa cinq années en prison où il mourut vers 1379. La renommée de ses miracles s’étendit dans toute la France méridionale puis dans l’Europe entière. Il est très vénéré dans le canton de La Chaise-Dieu.

  • Types :
    • Site et monument historique

Catégories

  • XIXe siècle
  • XIIe siècle

Tarifs

Gratuit

Accès libre.

Ouverture

Toute l'année, tous les jours.

Visite

Individuelle

  • Visites individuelles libres en permanence

Groupes

  • Visites groupes libres en permanence

Prestation

Activités sur place

  • Concert

Confort / services

  • Parking à proximité